LES POSSESSEURS DE SMARTPHONE ANDROID

01 | 17

Les insolites

LES POSSESSEURS DE SMARTPHONE ANDROID

Des possesseurs de smartphones Android plutôt honnêtes et agréables !

Et si votre smartphone en disait bien plus que vous ne le voudriez sur votre personnalité ? C’est ce que pensent certains chercheurs, qui après avoir travaillé avec 530 volontaires adultes, en sont arrivés à une conclusion étonnante : les férus de téléphone Android seraient plus sympas que les accrocs à l’iPhone !



Deux clans de mobinautes : les fans d’iPhone… et d’Android !


En réalisant leur étude, les chercheurs de l’Université de Lancaster ont mis en évidence l’existence de deux groupes distincts, qui recoupent des positionnements marketing différents.


Les possesseurs d’iPhone voient plus souvent en leur smartphone un objet statutaire. Essentiellement des femmes, plutôt jeunes et peu tournées vers les nouvelles technologies, elles ont plus tendance à considérer l’iPhone comme un accessoire de mode témoignant de ce qui est considéré comme une expression de bon goût et la démonstration d’un certain standing social. Ces personnes montreraient un niveau d’honnêteté et de modestie moindre et seraient plus émotives.


À l’inverse, les possesseurs de smartphones Android seraient plus souvent des hommes, plus âgés et témoignant d’un niveau d’honnêteté et d’humilité supérieur… Toujours selon les conclusions des chercheurs.


Une étude discutable, mais des clients Wiko bien sympathiques


Les résultats de cette étude insolite menée par des scientifiques de l’Université britannique de Lancaster ont été publiés dans la revue Cyberpsychology, Behaviour and Social Networking.


Si nous pouvons nous interroger sur le bien-fondé de telles recherches, et sur la valeur accordée aux résultats trouvés, chez Wiko nous ne pouvons confirmer qu’un point : les possesseurs de smartphones Wiko sont des personnes sympathiques et agréables, que nous sommes heureux de compter parmi nos clients !


Si le sujet vous intéresse, vous pourrez accéder au résumé de l’enquête en ligne : http://online.liebertpub.com/doi/10.1089/cyber.2016.0324


 

Retour

A lire dans la même rubrique :